brouillard2°
DE | FR
burger
Economie
Jeux vidéo

Mais qui sont les «winners» et les «loosers» du Covid?

Jeux vidéo

Mais qui sont les «winners» et les «losers» du Covid?

Covid boxe winners loosers pandémie
Image: Shutterstock
La crise sanitaire a mis notre économie à rude épreuve. Mais il n'y pas que des perdants. Petit tour d'horizon.
17.03.2021, 09:1917.03.2021, 13:19
Plus de «Economie»

Les grands gagnants

  1. Amazon: le géant mondial du commerce en ligne a vu son chiffre d'affaires décoller de près de 40% en 2020, à près de 387 milliards de dollars.
  2. La livraison de repas a aussi connu une nette accélération: Just Eat Takeaway a enregistré un bond de ses revenus de 54%, à 2,4 milliards d'euros. Son concurrent, Deliveroo, a vu la valeur des transactions sur sa plateforme augmenter de 64%, à 4,1 milliards de livres.
  3. La passion pour les séries se poursuit. Netflix a dépassé les 200 millions d'utilisateurs, son rival Disney+, lancé fin 2019, atteignait déjà les 95 millions d'abonnés début 2021.
  4. Côté virtuel, le jeu vidéo a aussi connu un cru 2020 faste. Sony a ainsi vu ses ventes progresser de 40% sur un an, lors des trois derniers mois de l'année.

Le fabricant danois de petites briques a également tirer son épingle du jeu:

Lego touche le jackpot grâce aux confinements

Les grands perdants

  1. Les compagnies aériennes: Air France a encaissé un choc «sans précédent» qui lui a fait perdre 7,1 milliards d'euros, soit un peu plus que sa rivale allemande Lufthansa (6,7 milliards) ou mère de British Airways (6,9 milliards). Easyjet, n'a pas non plus été épargné, le géant du low-cost a vu ses recettes fondre de 88%.
  2. Le pétrole a connu une perte abyssale: Les cinq plus grandes compagnies privées du monde - BP, Chevron, ExxonMobil, Shell et Total - ont annoncé des pertes nettes cumulées de 77 milliards de dollars pour 2020, dont plus de 20 milliards pour le seul BP.
  3. En Suisse, les 191 centres commerciaux du pays ont perdu 39 millions de francs par jour. (ats/jch)

Plus d'articles «Actu»

A Bâle, le procès pour viol n'a pas fini de faire parler
Le nouvel outil anti pédocriminalité d'Apple est accusé d'espionnage
Profitez de la nouvelle saison de La Casa de Papel… car c'est la dernière
La mort d'un prêtre provoque une crise politique en France
1
Thèmes
0 Commentaires
Connexion
user avatar
Comme nous voulons continuer à modérer personnellement les débats de commentaires, nous sommes obligés de fermer la fonction de commentaire 72 heures après la publication d’un article. Merci de votre compréhension!
Les plus lus
1
Les Américains sont jaloux d'un petit village suisse de 201 habitants
2
71% des Suisse disent «oui» à la caisse unique, mais à une condition
3
Les CFF ont pris une décision qui va toucher des milliers de coureurs romands
Migros a du mal à vendre l'un de ses fleurons
Le détaillant veut se défaire de sa filiale Mibelle – connue pour des marques comme Handy ou «I am». Cela semble moins facile que prévu.

C'était l'époque de gloire de Barack Obama, où «Yes, we can» est devenu la devise d'une génération. La filiale industrielle de Migros, Mibelle, a profité de cet engouement. En novembre 2009, le magazine de mode américain Vogue a publié un article sur une variété de pomme suisse presque disparue, l'Uttwiler Spätlauber. Ses cellules souches sont censées ralentir le vieillissement de la peau. Mibelle avait développé une substance active à partir de ces cellules. Et selon Vogue, la première dame américaine Michelle Obama utilisait une crème coûteuse contenant la substance de Mibelle.

L’article